Quelle est ma raison de vivre sans toi qui est mon soleil du matin et ma lune du soir ? Tu es ma seule raison d'exister, l'oxygène qui me fait vivre et le sang qui fait battre mon c½ur ...Je t'aime plus que tout c'est une vraie frénésie. Je t'aime comme un fou, je t'aime plus que ma vie. Je te chéris et ma plume en délire couche sur le papier ce que je n'ose dire : je t'aime. $)
Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle; je sais que je t'aime. Il est un jour où les larmes du paradis ont tracé sur ma joue le chemin vers ta vie. Ces nuits où l'éloignement de ta voix se transforme en poison, où la sueur ne tire plus ses origines du désir mais de l'effroi, qui coule, coule, et enroule ma chair dans ces torrents de frissons. Ton absence est un vacarme qui m'enserre et me fait subir l'ignoble détention. C'est d'une voix tremblante, d'un geste timide, d'un corps brûlant, d'une sueur limpide, que je t'écris. Les cicatrices élancent et assaillent ma peine, délivrent le poison du déchirement dans mes veines. Nos corps sont maintenant séparés, déliés en un vacarme que je ne peux endurer... .
J'erre à travers nos décombres, me guidant par ces lueurs, ces cadavres de nos souvenirs. Je me figure les profondeurs d'un regard que j'oublie. Je n'ai plus de larmes, plus de voix, tu me frappes de tes rires soudainement devenus sourds, tu me jettes dans la joie brûlante, qui s'évapore, dont les hurlements endiablés pénètrent mon corps. Mon amour, le désir mue peu à peu en soupir, et de nos vies qui salivaient ces cascades de désirs, s'ensuit un plongeon dans l'enfer de la nuit. La sueur qui se dégage en vapeur, nos cris enfouis dans les replis de notre désir, ces trémolos étrillés par le rêve, nos corps longtemps fougueux et soudainement inertes. Cette nuit fut rageuse, laissant parler notre chair, on a laissé les mots pour d'autres mondes et on s'est oubliés dans ce velours, cette danse harmonieuse cadencée par la profondeur de nos regards, par l'infini de tes douceurs. Le réveil fut douloureux, loin de ton corps, loin de tes yeux. En attendant de te revoir, je compte ces secondes plongées dans le noir.
Parfums éclos d'une couvée d'aurores qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence le monde entier dépend de tes yeux purs et tout mon sang coule dans leurs regards.
Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle; je sais que je t'aime. Il est un jour où les larmes du paradis ont tracé sur ma joue le chemin vers ta vie. Ces nuits où l'éloignement de ta voix se transforme en poison, où la sueur ne tire plus ses origines du désir mais de l'effroi, qui coule, coule, et enroule ma chair dans ces torrents de frissons. Ton absence est un vacarme qui m'enserre et me fait subir l'ignoble détention. C'est d'une voix tremblante, d'un geste timide, d'un corps brûlant, d'une sueur limpide, que je t'écris. Les cicatrices élancent et assaillent ma peine, délivrent le poison du déchirement dans mes veines. Nos corps sont maintenant séparés, déliés en un vacarme que je ne peux endurer... .
J'erre à travers nos décombres, me guidant par ces lueurs, ces cadavres de nos souvenirs. Je me figure les profondeurs d'un regard que j'oublie. Je n'ai plus de larmes, plus de voix, tu me frappes de tes rires soudainement devenus sourds, tu me jettes dans la joie brûlante, qui s'évapore, dont les hurlements endiablés pénètrent mon corps. Mon amour, le désir mue peu à peu en soupir, et de nos vies qui salivaient ces cascades de désirs, s'ensuit un plongeon dans l'enfer de la nuit. La sueur qui se dégage en vapeur, nos cris enfouis dans les replis de notre désir, ces trémolos étrillés par le rêve, nos corps longtemps fougueux et soudainement inertes. Cette nuit fut rageuse, laissant parler notre chair, on a laissé les mots pour d'autres mondes et on s'est oubliés dans ce velours, cette danse harmonieuse cadencée par la profondeur de nos regards, par l'infini de tes douceurs. Le réveil fut douloureux, loin de ton corps, loin de tes yeux. En attendant de te revoir, je compte ces secondes plongées dans le noir.
Parfums éclos d'une couvée d'aurores qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence le monde entier dépend de tes yeux purs et tout mon sang coule dans leurs regards.
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